Partie 1 :
92 points récoltés au 5ème coup pour les moins perdants. A la fin on devrait tout de même arriver à un score à 3 chiffres, mais de justesse…
C’est le moment que choisit Edouard pour secouer brutalement la foule endormie avec EN-C-HAINA-I. Scrabble avec deux appuis, pas mal comme réveil !
Et on enchaîne avec E-XhUMEES, déterré du fond du sac à lettres. Pas inabordable, mais nonuple ouvert et au moins, le X pouvant doubler avant de tripler. Stressant ! Ce sera le plus gros score dominical avec ses 104 points.
HUILAT à 51 compense l’indisponibilité de placer HURLAIT calmement.
Sorti des bas-fonds, T-R-EFONDS ne fait pas surface pour tous.
Même implaçable, PROROGE annonçait probablement l’arrivée d’autres solutions payantes, méfiance !
De suite, on constatait encore une fois qu’un vivant riche faisait immanquablement un MORDORÉ.
Partie 2 :
Une fameuse bagarre intérieure afin de décider quel mot lancer au coup d’envoi. CoLLETÉ l’emporte sur la pas plus sûre CaTELLE, mais CoTELLE ou autres tentations en ont handicapé plus d’un et -72 augure déjà un négatif final inquiétant.
ATONA-L-ES en laisse pas mal sans voix.
ZAMUS, si on sait que COLLETER est un verbe, trouve aisément place.
Ces deux scrabbles des coups 1 et 2 suffiront dans cette manche pourtant longue de 24 tirages.
Ceci n’est pas pour autant un long fleuve tranquille. C’est notamment au coup 11 que Christian A. construira sa victoire sur un déraillement, comme beaucoup d’autres, du grand favori Fabien Leroy, en proposant un féminin à WAGONNIER. Pour l’égalité, la société des chemins de fer a des progrès à faire. Surprenant, d’autant que la CHEMINOTE y est la bienvenue…
Partie 3 :
SÉtÉRÉE apporte sa petite graine parmi d’autres possibilités.
USINIÈR-E, le travail continue…
E-N-LISAIT, pas de quoi s’enfoncer, des secours étaient présents.
OVUL-I-OnS, +5 sur E-VOLUOnS. Ne pas opter pour le plus payant semble illogique, à moins que l’on n’ait vu que le moins cher, ce qui devient alors sensé.
U-MBANDAS, à condition de pratiquer couramment le vaudou brésilien ne peut s’inventer. Sans doute un cadeau de +65 pour les heureux adeptes.
Et L-A-RMOYAT tire encore quelques sanglots dans la foule.
L’EXPAT final à 80 est bien capable d’augmenter les pleurs et donne le signal du départ.
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